L’histoire de la création de cette marque urbaine de vêtement est très particulière. Elle date de près de 10 ans. Quand le rappeur camerounais Neg Bello avait voulu prendre cette initiative, il lui avait donné le nom de « Urban Hyena ».
Influencé par les tendances étrangères et beaucoup plus américaines, il ne pouvait faire autrement, comme la grande majorité des jeunes à cette époque, que de se laisser plier par la mode.
Mais au fil du temps, avec le recul, de la maturité, Neg Bello a voulu renouer avec son identité culturelle tout en gardant le concept de l’Hyène. Car dans sa culture bamiléké, plus précisément chez les bangangtés, plusieurs familles ont pour totem « l’hyène » et « la panthère ».
En rentrant dans le vocabulaire de sa langue nationale « le medumba », il a trouvé le meilleur équivalent à Hyena : « ñgañgñoum » ! Qui se prononce de manière très particulière avec une tonalité et une nasalisation pointues.
Ñgañgñoum représente donc pour le rappeur Neg Bello : puissance, résistance, endurance et opportunisme.
Merci pour cet information big up pour l’inspiration et force à toi Neg Bello