Quand on interroge Marie Lissouk sur elle-même, l’écrivaine infatigable ne manque jamais de mots adéquats pour se présenter.
« Franco-Camerounaise, Marie Lissouck a vu le jour, le 10 novembre 1952 au cœur de la forêt tropicale d’Eséka. Les pieds nus, le cœur sur la main jusqu’en France son pays d’adoption, elle est d’ici et d’ailleurs. Toute sa vie, elle a essayé de se réconcilier avec son âme d’enfant malgré les vicissitudes de l’existence. C’est cette philosophie qu’elle souhaite partager avec d’autres. Elle voudrait surtout transmettre son histoire à sa descendance et laisser un témoignage au monde. Elle sait qu’il n’existe pas de hiérarchie dans la douleur ni de balance pour peser le poids d’une souffrance. Mais si c’est le cas, alors la délivrance en reste le contrepoids…. »
Plusieurs l’ont découvert tout récemment sur les réseaux sociaux après la publication du média français l’OBS. Or, elle a longtemps déjà roulé sa bosse dans ce monde des vivants et dans celui des belles lettres. Elle est l’auteure de nombreux livres les uns aussi agréables que les autres. Même s’ils sont pleins de mélancolie, de tristesse, et de souffrance, ils ont ce pouvoir de transmettre quelque chose de profond au lecteur.
Marie Lissouk mérite d’être lue et enseignée partout où l’homme semble être un loup pour son semblable. Elle mérite d’être soutenue même si à son âge elle n’a pas besoin de béquille tellement elle est solide. Promotrice d’une association de charité, Marie Lissouk est un véritable chez d’œuvre pour notre humanité.